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Les 4 accord tolteques

18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 17:50

 

 

 

 

 

Conversion d'autobus en véhicules récréatifs ou habitations multifonctionnelles.  À un coût abordable, vous pourrez profiter d'un lieu de repos, d'un espace habitable pour vos sports et loisirs et d'une demeure mobile pour tous vos itinéraires. 

La transformation des autobus est effectuée au Québec.

Pour des informations concernant les possibilités qui s'offrent à vous, voici nos coordonnées:
artconceptbus@gmail.com
450 271-8905

* Certaines des photos ont été prises sur le web afin de démontrer le potentiel utilitaire et esthétique de conversion d'un autobus. 
                                       ...

STYLE Chalet 
3 ou 4 saisons (isolé et chauffé)





 

 



Lire la suite : http://www.conversionbus.blogspot.ca/
Le retour des roulottes et baraquements ?
Nostalgie de ces temps durs mais fait de simplicité...
 
:):):)
Chiron
18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 13:57

 

 

 

 

 

La France à besoin de vrais hommes Adultes pas de soumises...

 

 

 

En ces temps de guerres, c'est d'hommes que la France à besoin...

 

 

 

Amis...

 

 

 

...

 

 

 

Vive le patriotisme!!! 

 

 

 

Chiron

 

 

 

 

18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 13:26

 

 

 

 

 

    Ont-ils un ADN différent pour ne pas supporter une nourriture terrestre

 

Nous pouvons faire de grands discours et analyses, j’en ai fait, et de belles plumes de Riposte laïque l’ont fait et le font. La lutte contre l’islam et son cortège de ravages systématiques et de régressions vers le pire des fascismes et de lavage de cerveau, implique l’engagement de tous et de dénoncer et combattre les ignominies de cette idéologie plus que mortifère et de ceux qui la soutiennent ou la laissent prospérer - l’actualité quotidienne partout dans le monde, la concernant, ne laisse aucun doute sur le sujet, sauf bien sur chez les aveugles professionnels : journalistes bobos, politiques et multiculturalistes .

 

Mais c’est parfois dans le détail, que l’on voit à quel point notre société est dans le renoncement de ses valeurs les plus anodines se laissant ainsi infiltrer et carrément détruire de l’intérieur, le cas RATP est emblématique (avec le silence assourdissant du Gouvernement, mais il se produit d’une façon ou d’une autre partout dans l’hexagone, sans que les responsables bronchent ou encore il est vrai que l’on est tellement stupide que l’on nomme de parfaits représentants infectés jusqu’à l’os par le cancer musulman et ses valeurs criminelles (Cf la cour européenne), comme responsable ou tant que porte-parole, et après… on s’étonne des résultats !

 

Je ne résiste donc pas au fort déplaisir de vous conter une de ces histoires du quotidien :

 

Une de mes amies travaille dans une Maison pour personnes âgées et m’explique qu’elle est invitée au repas de nouvel an du personnel, qui a lieu ce jour, il s’agit d’une raclette, plat bien de chez nous, coté montagnes (qui est toujours accompagné de jambon cru, de diverses cochonnailles et de vin blanc) et elle ajoute que BIEN SUR, ce repas est Hallal …

Plus que surpris par ce « Hallal », (pour une raclette !).

 

Je lui demande pourquoi. Elle m’a sorti l’argument de la bien pensance : nous on mange de tout et pas eux (ont-ils un ADN différent pour ne pas supporter une nourriture terrestre?), je lui ai quand même dit que ce serait normal que les gens s’adaptent au pays dans lequel ils vivent et à leurs coutumes, surtout en plus dans un repas offert par la direction d’un établissement français, en France, que ce n’était pas à la minorité de faire loi sur la majorité locale ou générale, que nous n’avions pas à tenir compte des religions et autres crétinismes primitifs obscurantistes, rien n’y fait…

 

Elle a même ajouté que de toute façon une bonne moitié de la viande que nous achetions en grande surface était Hallal sans que nous le sachions, ce qui ne l’a pas empêchée par ailleurs de dire tout le mal qu’elle pensait de l’islam, et ce n’était pas « soft », très loin de là (nous en sommes à ce genre de schizophrénie , un peu partout) eh puis… la discussion s’est arrêtée….

 

Pourtant cette amie a lutté dans le même établissement, lorsque des « aides soignantes » abruties islamisées on eut en tête de refuser de servir du vin aux pensionnaires (tous non musulmans), de mettre des gants et des voiles, ou de refuser de servir du porc (cela les rendrait impures ces braves abruties par l’islam et l’imam du coin, les encourage et oblige dans cette voie, bien inoffensif… messieurs les journaleux, bobos et politiques, n’est-ce pas ?).

 

Elle a même réussi a rabattre le caquet – mangeait systématiquement du porc devant lui – et à faire virer un infirmier musulman, oh bien propre sur lui, mais d’un fanatisme bien caché, comme souvent et qui avait commencé à menacer toutes les femmes musulmanes travaillant la, si elles ne se conformaient pas aux règles islamiques et ne faisaient pas en sorte d’imposer leurs lois religieuses (Cf RATP) : eh oui, la lutte en est là, pied à pied dans chaque entreprise ( le cancer étend ses métastases mortelles, personne ne veut voir )…

Mais qu’en sera-t-il lorsqu‘elle sera partie, d’autres auront-elles le même courage ou renonceront elles ?

 

Jack Lucent

 

FRANCE REVOLUTION

 

  Présentation2

 

 

 

Lire sur France révolution : http://france.revolution.over-blog.com/article-une-raclette-plat-bien-de-chez-nous-cote-montagnes-toujours-accompagne-de-jambon-cru-de-diverses-114480010.html

 

 

 

 

Amis...

 

 

 

 

 

 

Chiron

 

 

 

 

 

18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 12:48

 

 

 

 

 

Bonjour !

 

 

 

L’image de la Russie est en train de s’améliorer
18.01.2013, 15:28, heure de Moscou
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россия флаг россия российский флаг российский герб россия герб россия 2011 апрель коллаж

 
© Сollage: La Voix de la Russie

Les manifestations d’opposition de ces derniers temps n’ont pas altéré l’image dont bénéficie la Russie à l’étranger, sont convaincus les experts du Centre de l’information politique qui viennent de présenter un rapport intitulé « L’image de la Russie dans le monde contemporain ». Le rapport affirme que la bonne appréciation du pays par les étrangers n’est pas pleinement reflétée par les médias occidentaux voire nationaux pour certains.

Les auteurs du rapport supposent l’existence des forces qui profitent de la fausse image de la Russie dans le monde. Elles ont ainsi moins de mal à faire les dirigeants du pays faire des concessions en matière économique et politique. Mais les idées reçues cèdent devant les faits. Alexandre Panine, vice-directeur du Centre de l’information politique cite l’exemple du non respect des libertés politiques qui aurait provoqué une nouvelle « fuite des cerveaux ».

« Si on regarde les statistiques, on constate que la fuite et l’émigration ne sont pas intensifiées. La tendance datant du début des années 2000, c’est-à-dire le nombre des arrivés supérieur à celui des partants, n’a pas disparu. Si on regarde la structure – qui est parti, où et comment – on verra que les destinations telles que les Etats-Unis, l’Allemagne, Israël, le Canada, il y a une hausse de quelques dizaines ou de quelques centaines de personnes dans certains cas. Ces chiffres-là ne sauraient pas témoigner d’une émigration intellectuelle ».

La Russie est d’ailleurs la destination prisée des spécialistes étrangers. Ils savent qu’ici ils ont de bonnes chances de se réaliser, explique le vice-président du Centre des technologies politiques Alexeï Makarkine.

« En Russie il existe des opportunités pour faire une carrière, pour s’avancer, pour réussir. Bien sûr ça attire. C’est ce qui caractérise les marchés émergents où des hiérarchies bien ordonnées sont pour le moment inexistantes ».

D’après les auteurs du rapport, le plus grand problème, c’est que l’image dont bénéficie aujourd’hui la Russie à l’étranger n’est pas intègre. Elle est encore à construire. Notamment avec l’aide de ce genre de rapports qui fournit les réponses à toute personne qui se donne la peine de poser les questions. La Russie devra retrouver son statut de superpuissance reconnue par tous. L’année 2013 sera la période de recherches actives pour tenter de trouver de nouveaux moyens pour construire l’image du pays sur la scène internationale.

 

 

Lien : http://french.ruvr.ru/2013_01_18/L-image-de-la-Russie-est-en-train-de-s-ameliorer/

 

  Voir un exelent site de réinformation sur la Russie, la France et l'international ici : 

 

www.prorussia.tv/

 

:):):)

 

 

 

Chiron

17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 12:42

 

 

 

 

 

Les crabes et les écrevisses ressentent la douleur

 

 

Page nature :

 

 

 

Les crabes et les écrevisses ressentent la douleur
 
17.01.2013, 11:34, heure de Moscou
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© Photо: CXS.hu

Les crabes et, peut-être, d'autres crustacés peuvent ressentir la douleur, estime un groupe de chercheurs de l'Université Queen's de Belfast.

Au cours de l'expérience les crabes devaient choisir une des deux cavernes dans l'aquarium.

Les chercheurs ont découvert que les crabes ont vite appris à éviter la caverne dans laquelle ils recevaient une décharge électrique.

Les résultats de l'expérience peuvent exercer un impact sur l'industrie gastronomique. A l'heure actuelle les cuisiniers arrachent souvent les pinces des crabes vivants ou les jettent dans l'eau bouillante. /L

 

  Lire sur La Voix de la Russie

 

 

 

Pauvres petites bétes...

 

 

 

 

 

 

Chiron

17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 11:44

 

 

 

 

 

Bonjour !

 

 

 

 

Le massacre a déjà commencé

Peu de gens s’en rendent compte car le phénomène est pervers et insidieux, il couvre toutes les strates de la société sans dire son nom, et pourtant il est probable que dans ce domaine aussi, l’homo occidentalis n’ait atteint le point de non retour.
Je veux parler de l’empoisonnement progressif de la population depuis un demi siècle.

poisonLa fin de la seconde guerre mondiale va marquer un changement tant spectaculaire qu’inéluctable, concrétisé par une matérialisation et une massification devenues universelles et totalitaires, transformant l’homo sapiens en homo consommatus. Et ce phénomène, je devrais dire ce virus, qui jusqu’à maintenant a touché essentiellement l’homo occidentalis, à commencer par les américains qui en sont même la caricature jusqu’à l’extrême, est aujourd’hui à la portée d’une partie croissante de la population des pays dits émergents que sont les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine), autrement dit plus de la moitié de la population mondiale.

Quel empoisonnement ?
Celui qui affecte le corps humain au sens large, c’est-à-dire :
-          ce qui provient de son environnement : ce que nous respirons (l’air), et ce que nous ingérons (nourriture, boissons et autres substances) ;
-          ce qui provient d’initiatives destinées à le soigner (système de soins), à le transformer (manipulations génétiques, PMA, etc) ou à le seconder (appareils électroniques).

Or cet environnement a connu tout au long du XXème siècle, et surtout depuis sa seconde moitié, un extraordinaire développement qui semble infini. L’agriculture productiviste, le recours sans cesse croissant aux machines et son corollaire, la course à l’énergie, le développement à grande échelle de la chimie, tout ceci mène au sacro-saint principe de la société de consommation entraînant le monde dans une spirale infernale, celle-ci justifiant au passage toute la stratégie financière de ces 40 dernières années.

Pourquoi peut-on parler aujourd’hui d’empoisonnement ?
Parce que nous commençons à avoir du recul, c’est-à-dire à avoir suffisamment d’années derrière nous pour tirer un enseignement, ou du moins des tendances, sur des choix de société effectués au bas mot il y a 50 ans.

blanche-neigeL’agriculture ?
L’utilisation abusive et exagérée d’engrais et de pesticides a bouleversé l’ordre naturel, pollué les nappes phréatiques, détruit les insectes, décimé les abeilles, bref atteint l’écosystème de façon irrémédiable. « Quand on a commencé à montrer que les sols mouraient biologiquement, on nous a demandé de nous taire » affirme Claude Bourguignon, ingénieur agronome.

Et que dire de l’élevage, où les animaux, dans des conditions souvent scandaleuses, grandissent de façon accélérée et anti-naturelle grâce à des procédés artificiels tels que farines carnées, produits chimiques, hormones de croissance et antibiotiques.

La nourriture ?
Non seulement elle est issue de cette agriculture chimique, mais elle subit également des traitements et des ajouts de substances chimiques, voir carrément des transformations qui font se demander si le pain de chez Mac Do a encore droit à l’appellation « pain », ou s’interroger sur la notion de « fromage analogue » chez Pizza Hut.
La malbouffe s’est transformée en empoisonnement : « La nourriture distribuée par les cartels de l’agro-alimentaire, dépourvue de nutriments et de vitamines, bourrée de produits chimiques, affaiblit les populations et les empoisonne » (Claire Séverac, Complot mondial contre la santé, éditions Alphée).

Les médicaments ?livre-severac
L’affaire du Mediator est l’arbre qui cache la forêt. Cette molécule était tellement nocive qu’on a pu cette fois-ci établir un lien de cause à effet. Mais quid de tous les autres ? Claire Séverac, déjà citée, explique ce que beaucoup commencent à comprendre : « L’intérêt des industries pharmaceutiques est de maintenir les populations en traitements permanents (contre des maladies fabriquées par des hommes, voire même d’autres qui n’existent pas !). C’est pour cela aussi que les médicaments dont on dispose sont conçus pour soulager les symptômes et non pour traiter les causes des maladies. »
Derrière un médicament se cache une molécule dont les prétendus bénéfices sont mis en avant, et les effets secondaires systématiquement minimisés, alors que ce sont autant de bombes à retardement, voire de poisons, en puissance.

Le traitement des maladies ?
Avant d’aborder la question fondamentale du cancer avec le Pr Belpomme, en fin de cet article, laissons le Dr Hamer, inventeur de la Médecine Nouvelle (médecine naturelle défendue notamment par la revue Néosanté) s’exprimer à ce sujet : « Les Israéliens, et en particulier les Chassidim, pratiquent secrètement la Médecine nouvelle depuis plus de 20 ans, et cela avec le plus grand succès, c’est-à-dire à 98%. Ils prônent la chimiothérapie et la morphine comme soi-disant thérapie des cancers pour les non-juifs, avec pour résultat que 98% d’entre eux en meurent. » Les chimios, radio et autres hormonothérapies sont autant de poisons qui non seulement ne guérissent pas, mais font de vous un client à vie de big pharma. Les alternatives, notamment celles basées sur des méthodes naturelles, et qui ne viennent pas des multinationales pharmaceutiques, sont systématiquement écartées ou dénigrées.

Les vaccinations ?
Là aussi, l’affaire du Gardasil masque un problème beaucoup plus grave et beaucoup plus vaste. Non seulement les vaccins sont de plus en plus pointés pour leur toxicité, leur inefficacité et leur relation avec l’augmentation de certaines pathologies comme l’autisme, mais on se rend compte maintenant que leur utilisation massive et régulière sur l’ensemble des populations est en train de dérégler gravement notre système immunitaire.

La pollution atmosphérique ?
Je crois que je n’ai pas besoin de développer le sujet, tant notre société moderne est -enfin- consciente du problème. Par contre, les médias mainstream ne parlent pas du phénomène des chemtrails, ces curieuses traces laissées par les avions qui s’apparentent plus à une pollution chimique, soi-disant pour lutter contre le réchauffement climatique, qu’à d’innocentes émanations dues à la condensation des réacteurs.

Les gadgets électroniques ?
A peine 10 ans de téléphone portable et on parle déjà des méfaits de la pollution électromagnétique. Un petit livre « Le téléphone portable, gadget de destruction massive » (éditions l’Echappée) nous rappelle que l’étude européenne Reflex (financée par l’UE) concluait en 2004 : « les champs électromagnétiques générés par les antennes des téléphones portables provoquent indirectement des ruptures dans les brins d’ADN de cellules humaines et animales. Ils vont même jusqu’à perturber la synthèse de certaines protéines. » On pourrait parler aussi des effets néfastes des fours à micro-ondes sur notre santé. Et ainsi de suite…

Les conséquences de tout cela ?
L’émergence et le développement de nouvelles maladies, liées à notre façon de vivre et à notre environnement, dont la plus répandue est le cancer.

Laissons dans ce domaine la parole au professeur Dominique Belpomme, dans son livre Ces maladies créées par l’homme (Albin Michel) :

livre belpomme« En tant que cancérologue, je me suis aperçu que le cancer était une maladie que notre société fabriquait de toutes pièces et qu’il était en grande partie induit par la pollution de notre environnement. »

« Le constat est évident. Les maladies d’aujourd’hui ne sont plus les maladies naturelles d’hier. Elles sont toutes, ou presque, artificielles. C’est nous, c’est-à-dire notre société, notre civilisation, qui les induisons. »

« On peut citer les stérilités masculines, les malformations congénitales, la plupart des maladies cardiovasculaires, l’obésité, la très grande majorité des diabètes, les infections nosocomiales, les allergies, l’asthme… Et bien entendu le cancer, devenu une maladie de civilisation. »

« Dans les causes environnementales, il faut inclure la pollution d’origine alimentaire : les nitrates, pesticides et certains additifs se sont avérés être cancérigènes, et nous les ingérons le plus souvent à notre insu. Les aliments que nous ingérons, l’eau que nous buvons et l’air que nous respirons sont beaucoup plus pollués qu’il y a 20 ans. En outre, les recherches toxicologiques actuelles concluent indiscutablement à l’effet cancérigène de nombreux polluants.(…) On peut donc finalement considérer que ce sont 80 à 90% des cancers qui sont causés par la dégradation de notre environnement. »

Sachant que le Professeur Belpomme identifie dans son livre, parmi les nombreux facteurs cancérigènes : les fumées et goudrons provenant de la combustion de produits fossiles, les dioxines, les métaux lourds, l’amiante, les engrais nitratés, les pesticides, certains plastiques et produits synthétiques, certains colorants, modificateurs de goût et conservateurs alimentaires, la pilule contraceptive, certains médicaments…

Et le Pr Belpomme d’ajouter : « Il ne faut pas croire que l’homme, en raison de ses capacités technologiques, pourra faire exception aux lois de l’évolution naturelle. Non, ces lois sont irréductibles et incontournables et l’homme ne peut, ne pourra jamais les négliger, encore moins les modifier à son avantage ! ».

« Les activités technologies de l’homme dont on vante tant les mérites ne pourront conduire qu’à la disparition prématurée de l’espèce humaine, s’il n’y est mis une certaine limite et si ces activités ne se font pas le plus possible en harmonie étroite avec la nature.
Comme tout organisme vivant, chaque espèce est régulée par des lois biologiques. Toute transgression artificielle de ces lois ne peut conduire qu’à la mort de l’organisme ou de l’espèce concernée. »

Alors ?

Faudra-t-il attendre 50 ans pour admettre que les OGM, en violant l’ordre naturel, auront généré de nouvelles pathologies et déréglé encore plus le fonctionnement du corps humain ?

Faudra-t-il attendre 50 ans pour constater que l’exploitation du gaz de schiste, outre son énorme consommation d’eau, aura réussi à polluer gravement les nappes phréatiques et les couches sédimentaires du sol ?

Combien de temps allons-nous vivre encore dans ce mensonge permanent que la technologie et le progrès font notre bonheur ?

Pour terminer cet article, je vais vous dénoncer un des mensonges les plus courants de ces dernières années : celui de l’espérance de vie.

L’espérance de vie, une manipulation mensongère
Lors d’une de ses conférences, Dominique Tassot a rappelé que « La meilleure façon de mentir, c’est d’induire en erreur en ne disant que des choses vraies. ». C’est tout à fait le cas de l’espérance de vie de l’homo occidentalis. S’appuyant sur les formidables progrès de l’hygiène, des soins, et de l’amélioration de l’habitat réalisés au XXème siècle, les experts ont pu constater que les deux dernières générations ont vu fortement progresser leur espérance de vie. Et ils en concluent que celle-ci va forcément continuer à progresser dans les décennies à venir. Rien n’est plus faux.

Je prédis qu’à partir de ma génération, la courbe de l’espérance de vie va commencer à décliner, pour devenir très préoccupante dès la génération suivante.

D’abord, il faut savoir que l’espérance de vie de l’être humain a toujours été de 70 ans en moyenne. Elle était la même au temps de Jésus, au Moyen-Age comme au début du 20ème siècle. Il suffit, pour s’en convaincre, de se pencher sur l’âge atteint par les personnages célèbres, dont on a conservé trace : philosophes, scientifiques, prélats, souverains et aristocrates, saints chrétiens etc. Hors morts violentes bien entendu. Vous serez surpris de l’âge respectable que beaucoup atteignirent.
intergenerationTout a commencé à changer avec la génération de nos grands-parents, ceux qui sont nés au début du XXème siècle. L’effet conjugué d’une solide constitution héritée d’un mode de vie et d’une nourriture encore sains, et de l’amélioration considérable de l’hygiène et des soins, leur a permis d’atteindre pour beaucoup un âge très élevé.
La génération suivante, celle de nos parents nés dans les années 30, 40 et 50, a bénéficié dès son jeune âge des débuts de la société de consommation. Leur constitution, héritée de leurs parents est encore robuste, et leurs habitudes alimentaires sont encore saines, du moins dans la première moitié de leur vie. Ils sont petit à petit rattrapés par la pollution atmosphérique et les méfaits de la nourriture industrielle, mais c’est aussi cette génération qui « cuisine » encore, à partir de produits frais, et qui représente d’ailleurs presque la moitié des clients sur les marchés. Notez que, même si cette génération proroge l’espérance de vie de la précédente, c’est celle qui est aussi frappée de plein fouet par le cancer. Comme quoi, à peine 20 ans d’agriculture productiviste et de nourriture qui se « chimiarise » petit à petit commencent déjà à faire des dégâts. Qui n’a pas un parent, un ami, une connaissance décédé du cancer aux alentours de 70 ans, même avant ?

Le vrai danger concerne la génération actuellement aux commandes, la mienne. Celle qui a entre 30 et 55 ans aujourd’hui. Celle que l’on peut appeler « la génération Mac Do ». Elle est née avec les débuts des fast-foods et autres formules de restauration rapide, c’est elle qui avale un sandwich le midi, enfourne un plat préparé dans le micro-ondes le soir, ingurgite une pizza affalée devant la télé, et n’est plus capable d’effectuer 50 mètres sans prendre sa voiture. Cette génération en surpoids se gave de sodas, de frites, de pain blanc, de sucres, tout cela exclusivement en provenance d’une agriculture productiviste élevée aux pesticides, et d’une industrie agro-alimentaire qui transforme des aliments sains et vivants en nourriture androïde bourrée de produits chimiques, insipide mais « sécurisée ». Cette même génération « majeure et (beaucoup trop) vaccinée » est aussi celle qui se rassure comme elle le peut en ingérant, au choix, des excitants (alcool, cigarette et autres drogues), des tranquillisants (la gamme est large) ou des médicaments (vous savez, ces produits formidables qui vous soignent sans avoir, ou très peu, d’effets secondaires. Si, si, puisqu’on vous le dit !)

Tout cet environnement hautement nuisible, aggravé par un comportement irresponsable et infantilisant, est irrémédiablement cancérigène. Nous vous y trompez pas : les quadras d’aujourd’hui seront peu nombreux à dépasser le cap des 70 ans fatidiques.

Compte tenu de tous les facteurs développés plus haut, il n’est pas possible que dans ces conditions, l’espérance de vie continue à progresser. Les modèles de calcul ne tiennent pas compte de la progression de la nocivité de notre environnement et de notre nourriture, ou la minimisent, comme si cela n’avait pas changé depuis 50 ans. Car sinon, il faudrait totalement modifier notre système et notre mode de vie. Or nous n’en prenons pas le chemin.

Quand à la génération suivante, celle de nos enfants, je n’ose y penser, mais j’ai bien peur que nous en verrons beaucoup mourir avant nous.

Pour ceux que cela intéresse, je développerai les aspects « santé » et « agro-alimentaire » dans de prochains articles.

Quand aux solutions, elles sont simples :
rapprochez-vous le plus possible d’un mode de vie naturel. Mangez bio et surtout des produits frais : cuisinez-les vous-même. Méfiez-vous surtout de la viande, c’est une des formes d’alimentation les plus pourries. Il existe de nombreuses filières de viande bio, en direct du producteur. Achetez des fromages au lait cru. Equilibrez et diversifiez votre alimentation, réduisez les féculents et supprimez les sodas. Respectez les besoins biologiques de votre corps en le nourrissant de façon équilibrée 3 fois par jour, et faites-le jeûner de temps en temps. Respirez l’air de la campagne plutôt que celui des villes. Jetez tous vos médicaments et revenez aux recettes de vos grands-mères et à la médecine naturelle. Proscrivez toute vaccination. Allez acheter votre pain complet à pied et prenez l’escalier au lieu de l’escavator ou de l’ascenseur.

 

 

Lien : http://legrandreveil.wordpress.com/2013/01/15/le-massacre-a-deja-commence/

 

 

 

Source le portail de l'eveil

 

 

 

 

 

 

Chiron

16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 13:49

 

 

 

 

Fécondité : de plus en plus de bébés en Midi-Pyrénées

l'événement

Gaëlle et Nicolas Pierre et leurs enfants : Clément, Justine, Lucile et la petite dernière Flore./Photo DDM, Xavier de Fenoyl - Tous droits réservés. Copie interdite.
Gaëlle et Nicolas Pierre et leurs enfants : Clément, Justine, Lucile et la petite dernière Flore./Photo DDM, Xavier de Fenoyl ()

Gaëlle et Nicolas Pierre et leurs enfants : Clément, Justine, Lucile et la petite dernière Flore./Photo DDM, Xavier de Fenoyl  

La région Midi-Pyrénées réduit progressivement son écart par rapport à la moyenne française en terme de fécondité. Le nombre moyen d'enfants par femme est ici de 1,84 contre 1,98 en France. Pour l'Insee, qui publie une longue enquête, cet écart est en partie dû au report de l'âge de l'accouchement.

La tendance s'inverse. Si depuis bon nombre d'années, les Midi-Pyrénéennes étaient connues pour faire moins d'enfants que dans le reste de la France, elles rattrapent désormais leur retard.

C'est ce qui ressort de la grande enquête de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Certes, les régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon ont encore du retard en terme de fécondité - le nombre moyen d'enfants par femme - mais elles sont les deux régions de France à connaître un taux d'évolution de la fécondité en perpétuelle hausse.

En effet, selon l'Insee, le taux de fécondité est ici en augmentation depuis les années 1990. Plusieurs raisons à cela. «Les femmes accouchent aujourd'hui plus tard, à plus de 30 ans en moyenne, révèle l'étude. C'est particulièrement vrai en Haute-Garonne, où les femmes diplômées et actives sont plus nombreuses qu'ailleurs.» En toute logique, elles retardent davantage l'arrivée d'un premier enfant si elles poursuivent des études. Et plus ces dernières sont longues, plus l'entrée des femmes sur le marché du travail est reportée. L'insee note qu'à ce titre «les projets de maternité sont souvent différés lors des premières années de vie professionnelle.»

Ce sont autant d'éléments qui se conjuguent dans la région, mais il y a de vraies exceptions. À l'image du Tarn-et-Garonne qui constitue à lui seul une curiosité avec un taux de fécondité de 2,21 enfants par femme ! C'est, du coup, le sixième département français en la matière, aux côtés du Vaucluse et de la Vendée. Comme dans la région, ce solde positif est en marche depuis plus de vingt ans.

Mais pour l'Insee, fécondité ne rime pas toujours avec natalité. Ainsi, on s'aperçoit par exemple qu'en Haute-Garonne et à Toulouse en particulier, la fécondité est plus faible (1,75 enfant par femme) que dans le Gers (1,95 enfant), mais la natalité y est plus élevée : il y a 12,4 naissances pour 1 000 habitants dans le «31» contre 9,1 dans le «32».

«Dans le Gers, précise l'enquête, les femmes en âge de procréer sont certes plus fécondes en moyenne, mais elles sont moins nombreuses qu'en Haute-Garonne, département beaucoup plus jeune». Il reste sans doute encore des bébés à faire dans la région. Par rapport aux années 60, Midi-Pyrénées gagne des places. Et ce n'est peut-être pas fini.


«Ici, nos enfants s'épanouissent mieux»

«On a su qu'on venait vivre à Toulouse le jour de la naissance de notre premier enfant». Gaëlle et Nicolas Pierre vivaient en banlieue parisienne il y a encore dix ans. «On se plaisait pas mal à Paris, mais quand je suis tombé enceinte, ça a été l'argument pour déménager, je ne voulais pas faire grandir mes enfants dans cette ville» explique Gaëlle. «Mon mari, qui est informaticien dans la fonction publique, avait demandé trois villes pour sa mutation : Nantes - on a une maison de famille à Noirmoutier -, Montpellier et Toulouse. Il a eu les deux derniers, et on a choisi Toulouse en se disant qu'on remonterait tôt ou tard sur Nantes. Mais depuis qu'on est là, il n'est plus question d'en partir !»

La famille a doublé en dix ans

D'abord en location à Lacroix-Falgarde, la famille est aujourd'hui propriétaire à Venerque, une petite ville à une vingtaine de kilomètres au sud de Toulouse. Et de trois à leur arrivée, les Pierre sont désormais six ! Depuis peu, puisque la petite dernière, Flore, a 6 mois.

Il y a donc Clément, l'aîné, 10 ans dans quelques jours, et Justine, bientôt 8 ans. «Ma mère trouvait que deux enfants, surtout un garçon et une fille, c'était très bien, pourquoi en vouloir plus. Je ne vous dis pas la tête qu'elle a fait lorsqu'on lui a annoncé qu'on allait en avoir un quatrième !», rigole Gaëlle. Et entretemps est arrivée Lucile, 5 ans. «Mon mari, qui est fils unique, trouvait lui aussi que deux c'était bien, mais devant mon insistance il a été d'accord pour un troisième, certain que ce serait le dernier. La petite dernière est une surprise… Un petit miracle», glisse, malicieuse, Gaëlle, que la stature de mère de famille nombreuse ne semble pas gêner le moins du monde. «Et je précise, car on me l'a déjà demandé, que je ne suis pas hyper catho» !

«Inutile de vous dire qu'à Paris, dans notre petit trois-pièces, on n'aurait même pas pu avoir plus de deux enfants. Là, on a quatre chambres. Et comme Flore ne fait toujours pas ses nuits, on l'a mise toute seule dans une chambre et regroupé Justine et Lucile ensemble».

Gaëlle est encore en congé parental. Institutrice à l'école du Vernet, elle reprendra à la rentrée de septembre prochain. «A mi-temps, impossible autrement de m'en sortir. Déjà que j'ai l'impression de sacrifier mes enfants pour mon travail…» Et il faudra un planning encore plus serré pour emmener Clément à l'équitation, Justine à la danse et à la gym, Lucile à la gym, Flore à la crèche, et les trois grands au cathé. Le secret de la réussite ? «Mon mari, qui est très disponible. Il commence tôt le matin et est là pour la sortie de l'école des enfants.» Et la vie à Venerque est aussi un sacré facilitateur. «Déjà, à Paris j'avais 1h10 de trajet pour aller au travail le matin, et autant le soir. Là, j'en suis à 900m. Et puis les gens ici sont ouverts, vous aident facilement. Enfin, on est au centre-ville, je peux tout faire à pied».

Le plus dur au quotidien, c'est le linge ! «Je suis un peu perfectionniste, et pour les habits je n'aime pas quand ce n'est pas repassé». Mais encore une fois, tout est question d'organisation. «Le jeudi avant les vacances, c'était journée médecins : un rendez-vous chez l'orthoptiste, un chez l'orthophoniste, et trois d'un coup chez l'ophtalmo. J'étais à l'heure partout ! Par contre, on vient de diagnostiquer que ma fille aînée était dyslexique. Du coup, on enchaîne les consultations, et là ça me fait pas mal courir».

Les enfants grandissants, les plus âgés aident leur mère. «Notamment pour s'occuper de leur petite sœur, ils sont très forts pour l'endormir ! Et mon fils est vraiment super-autonome, c'est même lui qui vient me réveiller en douceur le matin.»

Si Clément est «très fier d'être né à Paris - il le revendique auprès de ses copains -, mes deux filles, elles, sont de vraies petites Toulousaines». Quant à Gaëlle, du haut de ses quarante ans, elle avoue que «lorsque le ciel est dégagée, je m'extasie devant la vue sur les Pyrénées ; 10 ans après, je n'en reviens toujours pas».


Le bonheur est au Sud

La région est l'une des plus attractives qui soient en France, et ce n'est évidemment pas un hasard. Plusieurs raisons à cela :


- Son climat

Les influences océaniques apportent à la région des hivers modérés, tandis que celles de la Méditerranée nous offrent des fortes chaleurs estivales et des automnes ensoleillés. D'ailleurs, avec 2 000 heures de soleil par an en moyenne, Midi-Pyrénées compte parmi les régions de France où l'ensoleillement est le plus soutenu. Et rivalise en terme de températures avec la façade méditerranéenne et le couloir du Rhône.


- Un espace naturel remarquable

Avec huit départements et une superficie de 45 382 km2, Midi-Pyrénées est la plus vaste région de France et l'une des plus contrastée. Proche des Pyrénées, à une distance raisonnable de la mer, elle est traversée par l'un des plus importants réseaux de rivières alimentant la Garonne, et présente une succession de paysages variés : sites naturels grandioses de la montagne, des Causses, vallées profondes du sud Aveyron et des Pyrénées, plaine alluviale où se concentre la population urbaine.

Gastronomie, culture occitane et ovalie sont les marques du tempérament midi-pyrénéen.


- Une économie dynamique

Bien que moins industrialisée que la moyenne, Midi-Pyrénées peut compter sur quelques activités de pointe. L'aéronautique et le spatial constituent les activités les plus emblématiques du dynamisme de l'économie régionale et ont fortement contribué au renforcement de l'attractivité de Midi-Pyrénées. Cette filière, labellisée pôle de compétitivité en 2005, emploie plus de 75 000 personnes. Autres secteurs porteurs, les activités liées à l'électronique (10 000 emplois), la chimie, le secteur médical (9 000 salariés), mais aussi les Technologies de l'Information et de la Communication (qui comptent près de 40 000 salariés et placent Midi-Pyrénées au 2e rang français en la matière), le tourisme (45 000 emplois) et l'agroalimentaire (25 000 emplois directs).


- Un pôle universitaire et de recherche de premier plan

En matière d'enseignement supérieur, Midi-Pyrénées est la deuxième région, après l'Ile de France pour le nombre d'étudiants (110 000), tandis que le secteur de la recherche place la

région également en seconde position en France pour le nombre de chercheurs (14 500) et des laboratoires de recherche (près de 400).


expert : Bernard Nozières, statisticien à l'Insee, auteur de l'étude régionale sur la fécondité

«Les femmes font des enfants plus tard»

Peut-on parler d'un mini «baby-boom» en région Midi-Pyrénées ?

Il y a deux niveaux de lecture. Dans la région, le fait que l'écart se réduise entre son taux de fécondité et celui qu'on observe dans les Pays de la Loire ou l'Île de France ne doit pas nous entraîner à parler pour autant de «baby-boom». C'est un terme qui porte quelque chose de très fort dans l'inconscient collectif, c'est l'après-guerre, ce n'est pas la même échelle. Pour moi, cette fécondité qui augmente - positivement dans la région de 0,17 % - est très liée au report des naissances chez les femmes. Aujourd'hui, elles font des enfants plus tard. Et dans certains groupes d'âge, l'écart est très élevé. Prenez les jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans en Haute-Garonne, elles sont très peu fécondes par rapport à la moyenne nationale. C'est le cas de tous les départements qui ont de grosses villes universitaires. Cela peut vouloir dire que quand on ne fait pas d'études, on est disponible pour faire des enfants. Cependant, le parti pris des démographes, c'est de dire que ce taux de fécondité n'aura probablement pas d'impact sur la descendance. Les femmes font autant d'enfants qu'avant, mais plus tard.

Comment expliquer que l'écart se réduise en particulier dans la région. Est-ce un phénomène de société ?

Le fait pour les Midi-Pyrénéennes de procréer plus tard n'est pas un phénomène brutal. On n'est pas après 1945 où on a assisté à une véritable explosion des naissances. D'ailleurs, si l'on y regarde de près, même la courbe du taux de fécondité qui tend à augmenter depuis 1995 s'effectue en pente très douce. Je ne crois pas qu'on puisse parler de vraie rupture. Le phénomène de société, c'est que l'âge moyen de l'accouchement est en hausse depuis plus de vingt ans. On ne vit plus de la même manière sa vie en famille. On voit beaucoup d'enfants de 20 et 25 ans qui ont des parents plus âgés qu'avant.

Qu'est-ce qui vous surpris le plus dans cette étude ?

C'est la forte fécondité dans le Tarn-et-Garonne. C'est assez exceptionnel mais nous n'avons pas vraiment d'explication avérée. Il y a peut-être le phénomène de périurbanisation qui joue. Plusieurs enquêtes précédentes avaient démontré que le taux de fécondation était plus élevé dans ces zones plutôt que dans les villes centre. Avec la migration résidentielle, les jeunes ménages font un, voire deux enfants, puis vont se loger en dehors des grandes villes où l'immobilier est très cher.

 

 

 

Lire sur la Depeche

 

 

 

:)

 

 

 

Chiron

16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 13:03

 

 

 

 

 

 Identité pour tous, des origines pour tous mais unicité pour chacun

 

 

 

 

L'individu pour le collectif et le collectif pour l'individu!!!

 

 

 

Ne pas faire des exeptions une généralité!!!

 

 

 

 

 

Pas d'UNIFORMITÉ mais UNICITÉ pour chacun

 

 

 

 

 

Chaque individu est UNIQUE

 

 

Ceci est la RÉALITÉ!!! et la VÉRITÉ!!!

 

 

Des règles à respectés et des comptes à rendre :) 

 

 

Qui que tu sois ou que tu sois...

 

 

...

 

 

 

 

Chiron

16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 12:52

 

 

 

 

Bonjour !

 

 

 

Nous ne naissons pas tous Égaux mais différents et HEUREUSEMENT!!!

 

 

 

La réalité est que nous sommes tous fait de CHAIR de SANG et d'OS

 

 

 

Pas d'UNIFORMITÉ!!!

 

 

 

 

Tous nées avec une IDENTITÉ, des ORIGINES, à CLAMER!!! avec fierté!!!

 

 

 

 

 

Aussi il est des REGLES à respectés!!!

 

 

Des règles à respectés et des comptes à rendre

 

 

 

 

 

...

 

 

 

 

Chiron

 

 

 

 

 

15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 10:21

 

 

 

 

Bonjour !

 

 

 

Le nouvel hebdomadaire La Voix de la Russie " spécial manif pour tous "

 

 

 

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Chiron