Vladimir Vladimirovitch Poutine
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Poutine compare la crise financière à la Grande dépréssion américaine
MOSCOU, 20 octobre - RIA Novosti. Les Etats-Unis ont abordé une période de récéssion, et la crise financière actuelle est comparable à la Grande dépréssion américaine des années 1930, a déclaré
le premier ministre russe Vladimir Poutine.
Les risques hypotécaires aux Etats-Unis ont été sous-estimés et les taux d'intérêt établis par la Fed étaient trop bas, C'est à dire inférieur au taux d'inflation. Résultat, les Etats-Unis ont dû
affronter un grand déficit sur les comptes des opérations courantes et dans la balance des paiements, et le cours du dollar a fortement chuté pour la première fois depuis 1978, a-t-il noté
devant le Conseil pour les investissements étrangers qui s'est réuni lundi.
"L'une des causes (de la crise mondiale) est le carctère cyclique de l'économie mondiale", a poursuivi le premier ministre russe.
Selon des prévisions, les économies des Etats-Unis, d'Europe occidentale et de l'Union Européenne ralentiront fortement en 2009 avec des taux de croissance proche de zéro, pour la première fois
depuis 18 ans, a constaté M.Poutine.
"Dans certain pays, on s'attend même à une croissance négative", a-t-il estimé.
Selon M.Poutine, la Russie, à l'opposé des Etats-Unis et des pays d'Europe, a pris des mesures plus rapides et plus adéquates pour combattre la crise économique mondiale.
S'agissant du développement économique de la Russie, M.Poutine a rappelé que le gouvernement russe avait était souvent critiqué pour un excés de conversatisme," mais je pense que cela était
tout compte fait justifié".
"Nous ne nous sommes pas laissés prendre au dépourvu" (par la crise), a-t-il estimé.
Ces dix dernières années, la Russie s'est dotée d'une grande réserve de solidité, en accumulant de larges réserves de change. "Qui plus est, notre taux d'épargne financière globale est l'un des
plus élevés", a ajouté le premier ministre russe.
L'artilce RIA Novosti içi:
http://fr.rian.ru/russia/20081020/117839505.html
Vive Vladimir Poutine et vive la Grande Russie
Corinne Bizart